Les européennes, l'abstention et Conseil de l'Europe analysés par le politologue Jean Petaux - commentaires populisme de bas étage. 2009-05-01T14:55:42Z https://www.treffpunkteuropa.de/Les-europeennes-l-abstention-et-Conseil-de-l-Europe-analyses-par-le#comment6689 2009-05-01T14:55:42Z <p>Il n'en reste pas moins que le Conseil de l'Europe continue à travailer sur des valeurs, tandis que l'Union européenne se concentre sur des actions. Or, ces « actions » de l'UE ont perdu au fil du temps la mémoire des valeurs qui sont censées les fonder : ce n'est pas pour rien si les citoyens se plaignent d'une UE parfois plus préoccupée par le marché et la concurrence que par l'humain.</p> <p>Alors, bien sûr le Conseil de l'Europe n'a pas le pouvoir que les fédéralistes attendent. Mais tout ne passe pas par la sanction.</p> <p>Rien que dans la période récente, qui a dénoncé les vols secrets des Etats-Unis en Europe pour transporter les suspects de terrorisme : c'est le rapport de Dick Marty à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe.</p> <p>Qui a mis en cause publiquement la situation de la démocratie locale en Belgique après le refus du ministre de l'intérieur flamand du nommer les Bourgmestres francophones pourtant régulièrement élus ? C'est le Congrès des Pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l'Europe.</p> <p>Qui a fait prendre conscience à la France des conditions lamentables d'incarcération dans ce pays ? C'est le commissaire européen aux droits de l'Homme du Conseil de l'Europe.</p> <p>Donc, on peut dire, effectivement, que le Conseil de l'Europe ne fait pas assez ou n'est pas assez visible. Difficile, avec seulement 200 millions d'euros de budget pour 800 millions d'habitants et aucun pouvoir de sanction.</p> <p>Il n'en reste pas moins que le Conseil de l'Europe mène une action fondamentale pour les actions de promotion de la citoyenneté active (Faut-il rappeler que pendant des années, The New Federalist était financé par le Conseil de l'Europe ? personne ne songeait à s'en plaindre, alors...), de soutien et de formation à l'Etat de droit : ce qui nous semble parfaitement naturel à l'Ouest reste encore fondamental dans de nombreux pays européen qui n'ont pas de perspective d'adhésion à l'UE, mais qui, eux aussi, ont droit à la démocratie.</p> populisme de bas étage. 2009-05-01T06:32:17Z https://www.treffpunkteuropa.de/Les-europeennes-l-abstention-et-Conseil-de-l-Europe-analyses-par-le#comment6681 2009-05-01T06:32:17Z <p>Je suis assez d'accord avec David : le Conseil de l'Europe est l'archétype du machin international impuissant qui au final ne vaut et ne survit que par la seule institution fédérale qu'il a sur produire : la cour européen des droits de l'homme.</p> <p>Je serais moins dur que David dans mon jugement toutefois : je vois simplement dans les propos très maladroits de l'auteur une volonté de valoriser son travail – sur le Conseil de l'Europe – en dévalorisant l'Union européenne. Je veux bien croire que le coeur de la vocation du Conseil de l'Europe lui parle plus d'un point de vue affectif mais au quotidien le travail de l'Union est sans comparaison à la fois plus utile et plus efficace. La caricature qui nous est donné à travers cette phrase vient malheureusement détourner l'attention d'un entretien par ailleurs intéressant.</p> Les européennes, l'abstention et Conseil de l'Europe analysés par le politologue Jean Petaux 2009-04-29T10:05:15Z https://www.treffpunkteuropa.de/Les-europeennes-l-abstention-et-Conseil-de-l-Europe-analyses-par-le#comment6668 2009-04-29T10:05:15Z <p><span class="spip-puce ltr"><b>–</b></span> 1- Si, par exemple - le taux de participation électorale devait effectivement s'avérer si bas - le soir des résultats, aucune formation politique ne pourra se permettre de pavoiser : pas même les partis arrivés en tête (l'UMP si ça se confirme, voire le PS s'il devait finalement les doubler sur le fil...) et pas même ceux qui auront fait apparaître quelque « surprise » (on pense là à un éventuel score à deux chiffres par le Modem, les Verts, le PdG ou Libertas...).</p> <p><span class="spip-puce ltr"><b>–</b></span> 2- Pourquoi ce scrutin ne passionne guère (euphémisme...) c'est surtout parce qu'il n'y a pas de dramatisation politique autour d'un enjeux qui « accrocherait » vraiment le public.</p> <p>La campagne référendaire de 2005 avait vue une montée exceptionnelle de la participation électorale, résultante d'une surenchère entre ceux qui percevait le TCE comme une menace et ceux qui voyait en lui un espoir. La campagne présidentielle française de 2007 avait fonctionné sur exactement les mêmes ressorts psychologiques, entre peur et espoir : entre ceux qui espéraient ardemment l'arrivée au pouvoir de Sarkozy et ceux qui voulaient absolument lui barrer le chemin du pouvoir. D'où -selon nos standards « français » - une très forte mobilisation.</p> <p>Or - à ce jour - le scrutin européen ne semble susciter ni crainte, ni espoir (donc pas de raison urgentissime d'aller voter...). Et si bon nombre de nos concitoyens estiment - à ce jour - qu'il sera parfaitement inutile de se déplacer, le jour J, vers son bureau de vote - c'est surtout qu'ils ne perçoivent pas en quoi ce scrutin peut changer leurs vies, en faciliter ou en dramatiser le cours .</p> <p>Le tout dans un climat de défiance à l'égard d'un système représentatif parlementaire français (verrouillé par son caractère ultra-majoritaire...) dont nos concitoyens n'ont - à l'évidence - pas encore perçus à quel point ce scrutin était différent de son équivalent européen (proportionnel). Subtilités « science-politiques » mises à part : nos concitoyens sont déjà « gavés » du parlement français ; alors, le parlement européen : pensez donc !</p> <p>On regrettera donc que nos élites politiques ne disputent cette campagne référendaire que comme une « législative » classique sinon « ordinaire » qui - à l'évidence - indiffère (raison partielle de l'échec électoral à venir...) ; et n'aient pas même daignées reprendre les thématiques qui ont - pour le meilleur et pour le pire - fait le succès (électoral, en tout cas) de la campagne référendaire de 2005. Précisément parce que ces thématiques sortaient de l' « ordinaire ».</p> <p>Cela aurait obligé chacun à se positionner sur le TCE, Lisbonne, etc. Cela aurait remué de vieux souvenirs, aurait soulevé quelques remugles, aurait réveillé certains clivages que certains s'efforcent aujourd'hui de dissimuler. Cela aurait donné en tout cas une campagne plus intéressante que la présente. Et cela aurait - sans doute - incité nos concitoyens à aller voter... Hélas, ce ne sera pas le cas. Nos parlementaires européens seront donc bel et bien élus mais si « mal élus » (avec une base électorale si rachitique...), qu'ils en sortiront décrédibilisés. Ce n'est donc pas de la législature à venir qu'il faudra attendre quelque geste spectaculaire...</p> <p>PS : On peut effectivement - comme l'interviewvé, en fin d'article - constater chaque jour, au quotidien (au bureau, au café, sur les marchés...) que le regard de nos concitoyens soit tristement bien peu amène à l'égard de l'UE (l'anecdote de la vache faisant son tour du monde aux frais du contribuable est malheureusement bel et bien révélatrice de cette ambiance de « brèves de comptoir »...). On ne peut également que le regretter. Et regretter que nos politiques ne cherchent guère aujourd'hui à faire quoi que ce soit de vraiment spectaculaire pour essayer de changer ce regard.</p> <p>On ne peut que regretter que nos politiques ne considèrent l'Europe (et leur élection au parlement européen) que comme un enjeux ordinaire à ne traiter que selon des moyens ordinaires. L'échec final de la campagne électorale en cours sera définitivement celui de la politique routinière et du « busisness as usual ». Incroyable que l'on n'ait pas su (pas voulu ?!) rebondir sur les enjeux de la campagne référendaire de 2005.</p> Les européennes, l'abstention et Conseil de l'Europe analysés par le politologue Jean Petaux 2009-04-28T05:25:35Z https://www.treffpunkteuropa.de/Les-europeennes-l-abstention-et-Conseil-de-l-Europe-analyses-par-le#comment6654 2009-04-28T05:25:35Z <p>Il est bien normal que le nouveau monde en train de surgir sous nos yeux, entre nos mains, ressente doutes et gênes, douleurs et peurs. Mais, puisque J. PATOCKA a défini, en lançant la Charte 77, l'EUROPE comme née en Grèce du « soin de l'âme » cher à PLATON et comme menacée de « disparition », notamment à cette période-là de la guerre froide, par le souci qui le supplanta, celui de la « domination du monde »,</p> <p>faisons tout pour élargir notre échelle au BIEN COMMUN de l'Europe et par exemple pour ouvrir nos yeux sur les mutations en cours, quotidiennes autant que citoyennes grâce au travail, plus souverain que souterrain, de nos députés européens ; surmontons ensemble les « péchés » de jeunesse et de vieillesse qui alourdissent l'Union européenne ; suivons le regard de celle qui, de victime levantine, devint, par la grâce divine d'un TAURILLON, notre fondatrice et nous dota de son propre nom de « Vaste-Vue ». Bref, ne laissons pas la paresse frapper notre liberté de léthargie, ni l'indifférence ou l'abstention nous enlever L'EUROPE !</p> Les européennes, l'abstention et Conseil de l'Europe analysés par le politologue Jean Petaux 2009-04-28T04:49:25Z https://www.treffpunkteuropa.de/Les-europeennes-l-abstention-et-Conseil-de-l-Europe-analyses-par-le#comment6652 2009-04-28T04:49:25Z <p>L'Union européenne, c'est la lente et prudente naissance d'un nouveau monde, ou plutôt le changement d'horizon, d'échelle, de fonctionnement, qui affecte notre vie quotidienne comme notre orientation citoyenne, grâce au travail souterrain autant que souverain notamment fourni par les députés européens.</p> <p>Il est donc normal que le grand corps formé par les peuples d'Europe ressente doutes ou crises, gênes ou douleurs, dans la mutation en cours, qu'il faille plusieurs pôles d'activités pour insuffler, entretenir, harmoniser, la vie dans cet organisme sans précédent, mais non sans énergie, pour y susciter, puis réaliser, les idées, pour changer enfin ses péchés de jeunesse autant que de vieillesse en forces créatrices et fédératrices.</p> <p>A voir fleurir chaque jour plusieurs fois tant de journaux gratuits sur la voie publique, on peut ardemment souhaiter que la presse prenne vite la mesure, et renforce la conscience, des enjeux liés aux prochaines élections européennes, donc qu'en effet, par exemple, J. PATOCKA fasse encore entendre sa voix d'Europe centrale qui ne s'est pas laissé bâillonner par un régime totalitaire, mais a lancé l'année même de sa mort la fameuse Charte 77 dictée par des convictions certes philosophiques, mais vibrantes comme ces affirmations tirées de PLATON ET L'EUROPE (traduit par E. Abrams, Verdier, 1983) : « L'EUROPE - l'Europe occidentale surtout, mais aussi celle qu'on appelle 'l'autre Europe' - est issue du SOIN DE L'AME. Voilà le germe dont est né ce qu'a été l'Europe. Bien sûr, l'Europe n'a pas été que cela. Il y a longtemps que le souci de l'âme (...) s'est pour ainsi dire estompé sous les alluVions de ce qu'on pourrait appeler le souci, le soin, de la DOMINATION DU MONDE. »</p> <p>J. PATOCKA achève son raccourci historique sur la « DISPARITION DE L'EUROPE » que laissait craindre cette période de la guerre froide. Changerons-nous notre regard à la lumière de ces penseurs et d'abord d'EUROPE, la Levantine qui porta, puis nous donna par-delà son destin de victime transmué par sa propre libéralité, son nom de « Vaste-Vue » ? Laisserons-nous l'abstention, notre indifférence et la léthargie qui saisirait notre propre liberté nous ENLEVER L'EUROPE ?</p> Sans titre 2009-04-27T11:03:43Z https://www.treffpunkteuropa.de/Les-europeennes-l-abstention-et-Conseil-de-l-Europe-analyses-par-le#comment6648 2009-04-27T11:03:43Z <p>je ne juge l'homme qu'à travers ses propos que je juge populistes. je ne crois pas avoir l'honneur de connaître ce monsieur qui je suis sur est tout a fait compétent.</p> <p>Sur le fond, pour mémoire, quelques lignes de l'appel aux européens, lancé à La Haye en 1948 :</p> <p>"L'heure est venue d'entreprendre une action qui soit à la mesure du danger. Tous ensemble, demain, nous pouvons édifier avec les peuples d'outre-mer associés à nos destinées, la plus grande formation politique et le plus vaste ensemble économique de notre temps. Jamais l'histoire du monde n'aura connu un Si puissant rassemblement d'hommes libres. Jamais la guerre, la peur et la misère n'auront été mises en échec par un plus formidable adversaire. Entre ce grand péril et cette grande espérance, la vocation de l'Europe se définit clairement. Elle est d'unir ses peuples selon leur vrai génie, qui est celui de la diversité, et dans les conditions du vingtième siècle, qui sont celles de la communauté, afin d'ouvrir au monde la voie qu'il cherche, la voie des libertés organisées. Elle est de ranimer ses pouvoirs d'invention, pour la défense et pour l'illustration des droits et des devoirs de la personne humaine, dont, malgré toutes ses infidélités, l'Europe demeure aux yeux du monde le grand témoin. La conquête suprême de l'Europe s'appelle la dignité de l'homme, et sa vraie force est dans la liberté. Tel est l'enjeu final de notre lutte. C'est pour sauver nos libertés acquises, mais aussi pour en élargir le bénéfice à tous les hommes, que nous voulons l'union de notre continent. Sur cette union l'Europe joue son destin et celui de la paix du monde."</p> <p>Voila les ambitions. Si les fédéralistes se sont dissociés des conclusions, molles, du Congrès c'est précisément parce que le seul outil mis à disposition pour réaliser ces ambitions fut le Conseil de l'Europe, qui, à leurs yeux, et aux miens, n'a jamais été conçu pour effectivement réaliser l'ambition de l'Union. D'ailleurs, c'est ce qui explique que les Pères fondateurs, précisément, aient décidé, quelques années plus tard, d'entreprendre la création de la CECA, puis la CEE, devenue l'UE. Certes l'UE n'est pas aujourd'hui parfaite, certes il faut la faire progresser vers plus d'efficacité et de démocratie, mais il me semble qu'il faut être aveugle pour considérer que le Conseil de l'Europe soit plus proche du rêve des Pères fondateurs que ne l'est l'Union européenne, malgré ces imperfections, nombreuses.</p> Sans titre 2009-04-27T10:07:18Z https://www.treffpunkteuropa.de/Les-europeennes-l-abstention-et-Conseil-de-l-Europe-analyses-par-le#comment6647 2009-04-27T10:07:18Z <p>En tant que rédacteur en chef, et ayant réalisé l'interview de Jean Petaux :</p> <p>L'article ne prétend jamais que le Conseil de l'Europe est censé <i>réaliser une avancée pour l'Union européenne</i>. La critique porte sur l'esprit des Pères fondateurs, plus présent aujourd'hui d'après l'auteur au Conseil de l'Europe :</p> <blockquote class="spip"> <p> l'esprit contenu dans le projet original d'une Europe ouverte, soucieuse des conditions de vie de ses concitoyens, forgée sur un vrai idéal de paix au sortir de la tragédie du second conflit mondial, idéal ayant inspiré le fameux congrès fondateur de La Haye en 1948, est bien plus présent dans la philosophie du Conseil de l'Europe que dans celle de l'Union Européenne</p> </blockquote> <p>Sur la question de la « pompe à fric » : l'expression est volontairement provocatrice et il te revient de ne pas t'en être détaché. Je ne permettrai pas d'expliciter à sa place ce qu'a voulu dire par là Jean Petaux, mais je partage ton sentiment sur le fond, dans le sens où la provocation emmène je crois vers un raccourci un peu simpliste. Toutefois, comme précisé dans la citation reproduite ci-dessus, cette critique porte sur les écarts entre <i>la philosophie</i> de chacune des deux institutions, et jamais entre leurs rôles ou leurs missions, en rien comparables comme tu le rappelles. Cette critique, à mon sens, éclairante, dans une période de recherche de l'identité du projet européen.</p> <p>Sans vouloir défendre l'auteur, qui est assez grand pour le faire lui-même, je t'invite, afin de modérer tes propos et t'inviter à prendre du recul vis à vis de l'article, à consulter les quelques lignes qui décrivent son parcours universitaire. Et je ne peux que trop te conseiller la lecture de son ouvrage afin de dépasser le raccourci de cette formule qui t'as agacé.</p> <p>M. Petaux est actuellement en déplacement mais j'espère qu'il aura l'occasion de te répondre directement. à suivre.</p> populisme de bas étage. 2009-04-27T09:26:41Z https://www.treffpunkteuropa.de/Les-europeennes-l-abstention-et-Conseil-de-l-Europe-analyses-par-le#comment6646 2009-04-27T09:26:41Z <p>La fin de cette interview est monstrueuse. L'interviewé qualifie l'UE de monstre froid et de pompe à fric et glorifie une institution qui n'a jamais été en mesure d'assurer une quelconque paix sur notre continent. Le Conseil de l'Europe est une organisation apolitique, incapable de justifier son existence si ce n'est grace à une Cour des droits de l'homme qui s'est globalement détachée de l'institution qui l'a fait naître et fonctionne aujourd'hui en parfaite autonomie par rapport au Conseil lui même (on pourrait ainsi imaginer que le second, faute d'utilité, disparaisse sans pour autant que la CEDH disparaisse à son tour). Politiquement, le Conseil de l'Europe est incapable de réaliser une quelconque avancée pour l'unité européenne. D'ailleurs, la Russie en fait partie, ainsi que l'ensemble des ex pays soviétiques.</p> <p>Je ne vois ni l'intérêt de cette comparaison absurde entre une organisation politique qui prend quotidiennement des décisions contraignantes pour quelques 400 millions d'européens, dotée d'une assemblée élue, fonctionnant démocratiquement, disposant de milliers de fonctionnaires agissant quotidiennement pour le bienfait des citoyens européens, et une institution incapable de prendre une quelconque décision contraignante et se limitant le plus souvent à de simple déclaration d'intention. Ah, si, en fait j'en vois un : développer une thèse originale (et fausse) afin de se démarquer de ces collègues sciencepolitologues...</p> <p>de ce point vue, que l'UE soit qualifiée de « pompe à fric » me parait être une remarque pleine d'ignorance et surtout de populisme de bas étage, indigne et d'un « politologue » et du Taurillon et qui nécessiterait pour le moins une réponse de la part de la rédaction.</p> <p>David</p>